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Le petit bourgeois européen … ou l’aliénation par le « penser faux » et la peur de l’autre

 

Il est l’homme nouveau de la moderne société à classe unique. Il est confortablement installé dans les « acquis » de ses pères et n’en veut plus bouger… au lieu de faire face, il s’abrite derrière ses « bêta bloquants » habituels, syndicats, associations, partis … unis dans le même combat pour la conservation économique et sociale…

Le « germanopratinisme »,  maladie de l’esprit originaire de la rive gauche parisienne, est un mal contagieux très difficile à traiter qui bloque les « intellectuels » sur un discours désespérément « correct ». Ils ont abandonné Moscou, Pékin ou La Havane et pérégrinent maintenant dans « l’alter-monde » souffrant. Les intellectuels n’ont pas nécessairement l’intelligence du monde et nos grands vulgarisateurs attrapent au vol, les idées et les grandes causes qui passent… l’homme nouveau a des droits, peu de devoirs et n’est pas responsable, il est excusable de ses fautes car il est victime de la société… en fin de compte, il y a beaucoup « d’a-normaux » à la mode mais toujours aussi peu de génies au travail !

La bien-pensance et l’intolérance : de la compassion à la repentance puis à la régulation de la pensée… maladie de civilisation ou caprices de riches ?

Le petit bourgeois a peur. Il croit que le monde lui en veut. Le secteur public et les « jeunes », poussés par leurs militances politiques et syndicales, font un blocage sur le changement. Tous se rêvent fonctionnaires et jalousent les plus riches qu’il voient fort bien mais discernent mal les vrais pauvres, ceux du tiers monde, qui les guettent depuis les périphéries de leur forteresse sécurisée.

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