« dire non »

Viser juste, choisir les priorités correctes et les politiques efficaces

 
 

Le problème de l’aide n’est pas quantitatif, c’est la méthode qu’il faut changer …

D’abord, s’accorder sur les politiques et fixer les conditions du « contrat partenarial »… mais surtout, les faire respecter ou partir !

Le secteur informel est la priorité absolue… abandonner la politique « cadeau » et rompre le cercle vicieux « assistance-dépendance » … il faut entraîner la masse des familles et des groupements locaux dans un vaste mouvement « d’autonomisation » technique et financière … les approches existent, il faut les mettre au cœur des politiques de coopération…

Les dynamiques de développement local naîtront du couplage de l’approche globale et horizontale propre à l’informel avec les approches sectorielles normatives, par essence centrales et verticales, par le biais d’une planification et d’une action conjointes des partenaires privés, associatifs et publics pour la réalisation de leurs objectifs communs prioritaires  

Et le secteur moderne ? les entreprises et l’administration publique ne sortiront de l’ornière de façon durable que si les élites s’obligent à mettre en place et dûment respecter un cadre légal, judiciaire et institutionnel  fiable. En attendant, il faut les « accompagner » sur le chemin de la bonne gestion et se garder de laisser la coopération à leur seule fantaisie.

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